
C’est la grande affaire sociale de la rentrée : en un mot, le gouvernement veut dialoguer. S’appuyant sur les rapports Chertier et Haddas-Lebel, Jean-Louis Borloo reçoit tour à tour toutes les organisations patronales et syndicales. Les chômeurs, eux, n’ont que leur ASS pour pleurer. « Aucune association de chômeurs n’a en effet été conviée à ces rencontres », écrivent dans un communiqué de presse commun les associations AC !
, Apeis et MNC, qui demandent à être reçues par le gouvernement, pour que le dialogue social « se démocratise, pour mériter son nom ».
Par Sonya FAURE